Gabriel Aviantule : L'Oeil de l'Inquisition

Hors RolePlay : (Présentation joueur)

Age : Majeur (L'age exacte c'est pour les intimes <3)
Pseudo Minecraft : _IRevanI_
Expérience Minecraft : Depuis la 1.6.2, voire un peu 1.5

Expérience de Rôle Play : Je pratique le Roleplay depuis plus de 6 ans sous divers format. Je l'ai d'abord découvert sur Minecraft, puis j'ai basculé sur plusieurs plateforme. Que ce soit RP Forum, RP Discord, RP Garry's Mod (pas très sérieux comme rp je l'accorde), sur des MMO ou encore des JDR Papier (Roll 20 ou IRL). Prochainement j'aimerais RP sur Star Citizen et pourquoi pas GTA V, mais... Faut le matos :')


Comment as-tu connu Bedragoth : Par pur hasard sur un site de référencement de serveur minecraft.

Role Play : (Présentation du personnage)

Visuel du personnage:

Nom : Aviantule
Prénom : Gabriel
Age : 27
Race : Humain
Sexe : Masculin
Emploi (un seul) : Inquisiteur

Passe-temps (jusqu'à deux) : Divers
Gabriel n'a pas de passe-temps concret, juste un concentré de petites choses qu'il aime faire lorsque l'occasion se présente. Que ce soit jouer aux échecs, débattre, la philosophie ou encore les combats (que ce soit en s’entraînant, en observant des soldats, ou carrément des combats de gladiateurs si il y en a). Par ailleurs en tant qu'Inquisiteur, je doute qu'il ait beaucoup de temps à consacré pour des loisir, d'où la confirmation qu'il n'a pas de passe-temps concret, juste une liste de petites activités qui ne prennent pas forcément beaucoup de temps.

Statut : Célibataire

Royaume de départ : Panderia
Vices du personnage (jusqu'à trois) : Fourbe, Arrogant, Pessimiste
Vertus du personnage (jusqu'à trois) : Dévoué, Organisé, Analyste


Description de la personnalité du personnage :

A défaut d'être un homme sociable et chaleureux, Gabriel Aviantule se démarque par sa discrétion et son silence. Toutefois, lorsqu'il est amené à discuter, il peut se montrer excellent en terme de sournoiserie. Il n’éprouve aucun remord à se jouer de quelqu'un se pensant plus élevé que sont statut actuel, simplement car il éprouve un mépris inégalé de la bêtise. Par ailleurs, dans un monde désolé et cruel où règne une Tyrannie impérieuse, celui qui ne s'adapte est voué à pourrir dans la souffrance et la mort. La sélection naturelle, comme le perçois Gabriel. C'est pour cette même raison qu'il perçoit la Résistance comme une ineptie des plus abject. Il considère que si les résistants n'ont déjà pas l'intelligence de s'organiser dans l'ombre ne serait-ce que pour ne pas révéler l'existence d'une ambition révolutionnaire. Alors ils ne méritent même pas l'honneur de réussir ne serait-ce qu'un seul de leurs plan. Son rôle d'Inquisiteur est devenue un plaisir de la vie, rien n'est plus stimulant et satisfaisant pour lui que de traquer la bêtise et d'y effacer tout traces.


" Le plus grand fléau de l'humanité, est sa bêtise inégalée. "


L'absurdité dont peut faire preuve l'humanité est pour lui le seul et unique fléau qui rend sa propre race indigne de prestance. Ce pourquoi il se sent presque honoré de servir un Empereur non-humain. Toutefois, Gabriel à toujours eu une approche réticente du pouvoir, et n'aurait confié au grand jamais sa confiance à une personnalité politique. Il aime servir sa nation, pas ceux qui la possède. C'est d'ailleurs sûrement ce qui le différencie de bien des Inquisiteurs, en particulier les soldats. Qui eux, vouent presque un culte fanatique à la volonté du Tyran. Gabriel n'est pas fous, il n'exclame pas sous les toits ses doutes envers l'Empire, tout comme il n'en démontre pas le moindre indice. Son rôle d'Inquisiteur est de traqué l'hérésie et d'y mettre un terme, certainement pas de se laissé séduire par ses desseins. Par ailleurs, ce n'est pas parce qu'il n'a confiance qu'en lui-même lorsqu'il est question de politique, qu'il ne respecte pas pour autant sa hiérarchie et l'autorité qui à été imposé. Si ce n'était pas le cas, il n'aurait évidemment jamais pu intégrer l'Inquisition de Panderia.

L'Ego de Gabriel n'a rien de déraisonné, en réalité il se base, une fois encore, sur la bêtise des autres. Sont plus grand plaisir n'est pas spécialement d'éliminer la Résistance, mais d'être confronter à la stupidité des autres, quel qu'en soit leurs statut. Evidemment il ne va pas défier une autorité qui pourrait lui trancher la tête, mais lorsqu'il s'agit de simple paysans, ou encore de résistants... Il suffit que sa proie daigne vouloir hurler plus fort, pour que Gabriel accepte volontiers un semblant de débat, qui ne visera qu'à déconstruire chaque mot de l'adversaire pour y révéler tout les sens les plus humiliants les un que les autres.

Gabriel est un homme qui aime aussi le challenge. Il aime voir quelqu'un ou quelque chose remettre ses capacités en question pour mieux mesurer son niveau. Cela peut très bien être intellectuel (un débat, de la philosophie ou encore les jeux tel que les échecs), ou bien dans sa capacités à mener à bien une infiltration ou une mission de repérage.

Il se voit avant tout comme un tacticien plus qu'un stratège. Il pense que la stratégie est un art qui ne s'improvise pas, et qu'il faut une patience remarquable pour en maîtrisé tout les outils. La stratégie est la planification d'un plan et l'anticipation de compromis. Il ne s'identifie pas à cette philosophie. Pour lui, la Némésis de la stratégie est bel et bien la Tactique. Là où la Stratégie est lente et minutieuse, la Tactique est vive et instinctive. Elle relève de la capacité à non pas anticiper un problème, mais d'au mieux s'y adapter, d'au pire l'encaisser.

" La Tactique est un art pouvant faire de n'importe qui une ombre malicieuse. Un Stratège cherche à tout contrôler comme le ferait un Roi. Il impose un ordre, sa vision des choses, et construit autour de cette base des éléments qui préservent sa vision de l'harmonie ou de la victoire. Tandis que le Tacticien est imprévisible, nous ne pourrons jamais connaître la pleine mesure de ses capacités, ni où il sera le lendemain. Le Tacticien défie à chaque instant les règles qui ont été instauré, et s'en sert même pour mieux s'y faufiler. Vous voyez cette pierre ? Elle est robuste, droite, fidèle à elle même et prête à encaisser. Mais faîtes-y couler de l'eau depuis son sommet, et vous constaterez qu'elle se divisera un peu partout, zigzaguera ici et là. La pierre, trop sûre d'elle, ignoreras les caresses insignifiante de l'eau. Sans jamais se douté que celle-ci est en réalité entrain de la piéger, et de soumettre la pierre à trois choix. Soit laisser l'eau la pénétrer, soit la contraindre à la fissuré de toute part jusqu'à la brisé. Ou bien abandonner, et ainsi se noyer. "


Description physique du personnage :

Physiquement, Gabriel est un homme assez classique. Bien sûr ses années au sein de l'Inquisition en ont fait un homme plus sportif qu'un autre, mais il n'a rien de massif. Bien que son corps soit dessiné, visuellement, en comparaison avec un soldat ou encore un gladiateur, sa musculature reste tout de même bien discrète.  

Il possède des yeux sombre, une barbe légère, des cheveux court. Assez commun aux autres.

Pour ce qu'il y est de sont style vestimentaire, il se ballade généralement avec des manteaux sombre, si ce n'est des vestes de cuir, son sa chevelure est couverte par un sinistre chapeau. Son visage n'est pas toujours couverte d'un fin bandeau, en réalité c'est le cas uniquement dans un contexte conflictuel (une mission d'assassinat par exemple). Si il choisit d'être à visage découvert, c'est pour deux raisons :

La première, aussi paradoxale que cela puisse paraître, la discrétion. On se méfie d'avantage de quelqu'un ayant le visage couvert, que d'une personne semblant à l'aise et le visage à découvert

La seconde, c'est que de par sont statut, il se fiche complètement d'être reconnus par des rebelles. Parce qu'au contraire, il sait très bien que les rebelles les moins prudents souhaiteraient lui sauté à la gorge. Autrement dit, cela lui permet d'attiré de lui même les regards qu'il n'aura pas besoin de traqué.

Pour résumer, il porte toujours des tenues très sinistre, si ce n'est fidèle à ses sombres fonctions.


Histoire du personnage : (10 lignes minimum)

Je me souviens du temps avant la conquête. Le Royaume était paisible, prospère, des monarques d'apparence bienveillante. Je n'étais personne en particulier, rien qu'un adolescent qui s'efforçait de faire du pain pour gagner quelques pièces. Je n'étais pas très doué pour me faire des amis, personne n'aime les gens qui n'ont rien de chaleureux à offrir. Mais je le vivais plutôt bien, du moins, je m'en convainquais. La solitude est plus facile à supporter, lorsque nous sommes persuadé d'être plus intelligent qu'autrui. Et lorsque les gens nous le confirme de leurs inepties, c'est une jouissance morale qui n'a rien à envié aux plaisirs simples de la vie.

Je crois qu'en faîte je haïssais les humains. Leurs égocentrismes, leurs faux sourire qui cachent des critiques assassinent, leurs promesses qui ne mène qu'à de la trahison. Je n'ai jamais compris pourquoi une race aussi malveillante de nature pouvait être aussi glorieuse. Et pourtant, l'humanité à tellement de qualité inexploité. Quel gâchis.

Lorsque les Légion du Tyran sont arrivé pour bouleverser tout ce qui avait été construit, impuissant comme je l'étais, je ne pouvais que me cacher dans des débris à attendre que les lames cessent de s'entre-choquer. Que les paysans cessent de se faire égorgés. Que les femmes cessent d'hurler lorsqu'un soldat démontrait des ambitions plus monstrueuses. La Guerre, suivis de toute ses horreurs. Comme l'humanité sait si bien le faire au nom de bonnes intentions, qui ne sont évidemment que des leurres pour se justifié. J'étais terrifié, comme n'importe qui le serait dans des instants similaires. Et j'ai d'ailleurs mis plusieurs semaines à reprendre l'intégralité de mon esprit, ou du moins, récupérer ce qui pouvait l'être, et reconstruire autrement ce qui était perdu.

J'ai longtemps rêver d'un jour où le peuple renverserait l'Empereur, quand on est jeune nous rêvons de beaucoup de choses sans même comprendre la complexité qui s'y cache. Aujourd'hui, je le sais. Renverser l'Empereur est impensable, comment ce serait possible ? Avec des pauvres baignant dans leurs déjections pour se réchauffer la nuit ? Contre un homme seul qui conquiert des royaumes entier, avec pour seul compagnie ses propre légion ? Bêtise.

Evidemment avec le temps j'ai crus comprendre qu'une résistance était en projet. Mais à quoi bon. Ces imbéciles n'ont pas la moindre chance contre un adversaire aussi puissant, du moins pas en balançant des tomates à sa fenêtre en gueulant "Je refuse ton oppression et je viens te tuer!". Leurs conneries n'attisent que de la méfiance et des réformes qui réaffirme l'oppression qu'ils n'acceptent pas. Jusqu'à la création de l'Inquisition.

Le cauchemar de la liberté, la terreur des dissidents. Voilà qu'en réponse à de multiple provocations, un ordre de chasseurs et des plus glorieux soldats se tiennent prêt pour chasser l'hérésie et la mettre à mort sans la moindre empathie. Pire que ça, les soldats de l'Inquisition sont des fanatiques qui créerait presque une religion centré sur le Tyran qui les gouverne. Pas étonnant lorsque l'on veut des soldats qui ne doivent en aucun cas être comparable à une unité d'infanterie classique. Nan, eux, ils devaient être sublime, glorieux et puissant, à l'image de l'Empereur qui s'est emparé de toute ces terres avec une facilité aberrante.

M'enfin, qui je suis dans toute cette histoire me demanderez-vous ? Et bien, c'est simple. Je n'ai pas vraiment changer. Je suis un homme comme bien d'autres, pas très aimé, qui fait sa vie comme bien d'autres... Du moins, c'est ce que vous pensiez. Et cela vous à amener ici, à mes pieds, bâillonner et attaché comme un clébard. Humiliant, n'est-ce pas ? C'est ce qui arrive de chuchoter ici et là que "ce serait bien que le peuple se révolte". Je me suis adapté à ce monde, je l'ai accepté tel qu'il était, tout comme j'ai accepté que je ne pouvais le changer. Et me voilà membre du cauchemars de votre rébellion. Me voilà inquisiteur. Evidemment, ça ne s'est pas fait en un jour.

En réalité, j'ai même très certainement sacrifié mon seul espoir d'acquérir un semblant de bonheur dans ce monde. Une femme, Adenaly, très charmante, et si optimiste. Une perle dans un monde comme celui-ci. Une perle qui tel que vous, pensait qu'il fallait mettre un terme à la tyrannie. Je l'ai suivis, plus par amour que par ambition. Et j'y ais rencontré quelques personnes qui complotait contre la couronne. Sais-tu comment ils ont finit ?

Ils souhaitaient prendre d'assaut une caserne à la tombé de la nuit, ils y voulaient des armes et pourquoi pas du matériel ou des armures. Tout était calme, propice à leurs plan. Mais ce n'était qu'une illusion. Les soldats étaient planqué aux alentours, ils n'avaient cas attendre qu'ils pénètrent la garnison pour les arrêter, avant même qu'ils ne réalisent que celle-ci était vide. Ils étaient tellement obnubilé par leurs ambitions, le stresse et l'espoir, qu'ils n'ont même pas remarquer tout ce qui n'allait pas bien avant leurs arrivé à la caserne. Malgré ça j'ai pris le soin de gardé Adenaly en retrait, en prétextant de faire le guet sur une toiture. Et éviter ainsi qu'elle se fasse choper, et qui sait ce qu'elle aurait subit ensuite.

Elle contrairement aux autres, à défaut d'être forte, elle était futé. Elle m'a plusieurs fois fait comprendre que "quelque chose n'allait pas", qu'elle "ne le sentait pas". Mais lorsque la confiance s'est installé, il suffit de répondre "T'inquiète... Cela va bien se passé. Et si ce n'est pas le cas ils auront le temps de partir. Quelques gardes font la ronde par ici mais on les à déjà contourné, tout va bien". Et pouf, malgré la crainte, on laisse couler.

Lorsqu'elle à compris que je les ais trahis, elle n'a pas tardé à pointé son couteau dans ma gorge en réclamant des explications, les yeux gorgée de larmes. Elle n'aurait jamais pu comprendre que je ne voulais pas qu'il lui arrive quoi que ce soit, ni l'occasion en or qu'elle m'offrait en pouvant livré ses proches. J'ai donc pris sur moi, et je lui ais dis "J'ai fait ce que j'avais à faire". Des paroles assassines, qui ne reflétaient peut-être pas ce que je ressentais à ce moment là. Mais ce n'était pas le plus terrible. Le plus terrible, c'est qu'elle n'était même pas capable de me tuer. Enfaîte, si elle voulait me tuer, je lui aurais certainement laissé ce plaisir. Et ça l'aurait peut-être aidé à se reconstruire. Mais non, elle avait beau appuyé, elle n'avait pas la force d'aller jusqu’au bout. Elle était profondément triste, la gorge nouée de la douleur que procure la trahison. Je lui ais dis de disparaître, que nenni, elle déniait la fatalité qu'allait subir ses proches et songeait à les sauver, elle aurait certainement foncé dans le tas si je ne l'avais pas retenue au prix d'une gifle frêle. "Je te déteste, je te hais" qu'elle me disait alors que ses yeux hurlaient le contraire qui lui faisait justement tant de mal.

Cette femme brillante à finit détruite, d'autant plus lorsqu'elle s'est noyé dans l'alcool et le sexe. Pendant que sa vie prenait fin, la mienne au sein de l'Inquisition commençait. Là où elle a été retrouvé pendus à son domicile, j'étais officiellement membre des "Yeux" de l'Inquisition. Ironique, lorsque l'on sait que je devais fermer mes yeux sur ce qu'elle devenait.

Et rien de tout cela ne serait arrivé si les gens comme toi ne corrompait pas les autres avec des ambitions aussi stupide. Bien sûr, on pourra toujours me blâmer en disant que je suis le seul qui ait décidé de tout détruire, d'en profiter pour forger ma place dans un monde qui ne m'aimait déjà pas vraiment pour être quelqu'un d'encore plus détesté et cruel. Mais c'est comme ça qu'est fait le monde, je l'ai accepté et je m'y suis adapté. Si le monde était meilleur, je l'aurais certainement été, mais ce n'est pas le cas. Alors vous pouvez me percevoir comme un monstre si cela apaise vos pauvres âmes, cela m'indiffère au plus haut point.

D'autant que je n'ai pas de leçons à recevoir de personnes qui veulent retourner un peuple faible contre un puissant Empire. Vous n'avez pas complètement tords en soit. Si le peuple se révolte, aussi faible et misérable qu'il soit, il y aurait plusieurs possibilités qui servirait divers principe. Tout dépend la finalité souhaité. Vous pouvez vous révoltez, à supposer que tout le monde suive, et nous savons tout deux à quel point l'humanité est plus doué pour se plaindre, que pour agir. Mais imaginons que ce soit le cas. Vous serez tous abattu comme des porcs et on vous jettera dans une fosse. Pouf, l'Empereur n'a plus de peuple à gouverné. Mais dans le fond, est-ce qu'il s'en soucie ? Il devrait y avoir bien assez d'hommes et de femmes à son service pour baiser comme des lapins et lui rebâtir un peuple bien plus docile. Un "Grand Remplacement", en soit.

Ou bien votre fameuse Résistance s'en mêle et peut-être que vous gagnerez un semblant de crédibilité, pourquoi pas même un regain de territoire. Mais pour combien de temps ? Vous n'avez pas les mêmes moyens, le même accès aux vivres, vous n'avez pas non plus de formation particulière. Et je doute d'autant plus de vos capacités politique. Finalement, vous ne feriez qu'inscrire un faux-espoir de victoire, qui sera très vite effacer lorsqu'il n'y aura plus personne pour s'en rappeler.

Tu vois, c'est ça que je méprise chez vous. Vous bectez comme des chiens pour nous défier, mais lorsque nous sommes en face à face, vous êtes démunies. Et quelques mots suffisent à brisé tout ce en quoi vous croyiez jadis. Votre ferveur n'a pas d'avenir, et c'est encore une fois ce qui vous mèneras toujours à une situation comme celle-ci. Face à l'impuissance, l'humiliation, la dépression puis finalement la mort. Y a tout de même mieux comme perspective d'avenir, non ? Vous vous faîtes du mal pour une cause utopique. Et vous crevez, sans personne qui pleure sur votre tombe, quand bien même il y en aurait ils finiraient très vite par vous rejoindre dans l'au-delà. En réalité, votre mouvement ne répand que la souffrance sous couvert d’intentions héroïques.

Si vous n'êtes pas foutus de vous adapter au monde qui vous entoure, à accepté sa cruauté pour mieux y être préparé. Vous vous condamner tout seul à une vie qui n'a ni sens, ni saveur. Vous vous piégez tout seul dans une tragédie qui n'apporte rien ni à vous, ni au monde.  Et ensuite, vous avez les larmes aux yeux lorsque je me présente à vous, comme l'émissaire de la mort. Je suis navré, mais c'est ni plus ni moins la sélection naturelle.

Vraiment, quel gâchis.


Statistiques Personnage :
Jusqu'à 80 points pas compétences, max.
200 points sont à répartir parmi les compétences suivantes :
(Soyez cohérent avec le personnage que vous avez établis)

Force :   35/80
Agilité :  40/80
Constitution :  25/80
Charisme :   15/80
Perception :   55/80
Mental :  30/80

Yosh !

Je vais du coup procéder à ton ultime jugement.
En fait, je n'ai pas grand chose à dire. Le personnage est complexe et intéressant, ayant un certain charisme même. Mais j'arrive toute fois à relever une faille dans cette fiche et au niveau du physique.

Dans celui-ci tu décris sa silhouette et son visage, mais pas ces vêtements. J'aimerais que tu développes ceux-ci donc et ça sera bon c:

C'est fait !

Validé pour ma part