Aldorm Firstmail, Panderia côté résistant.

Aldorm est quelqu'un de très pragmatique, froid et déteste les elfes, et surtout le Tyran. Quand il combat, Aldorm se lâche, frappant avec ferveur et détermination contre l'ennemi. En dehors du combat, il passe son temps à miner, à la recherche de métaux précieux et de pierres précieuses, pour pouvoir gagner sa vie, et penser à autre chose que le combat et la vengeance. quand il voit une famille, il pense alors à la sienne, lui manquant énormément. Le reste du temps, il ne parle presque jamais de son passé, et préfère ainsi, ne voulant plus revoir les traumatismes qu'ils l'ont atteints

Aldorm est un nain, à la couleur de peau beige clair, mesurant 1m20, et pesant dans les 70 Kg. Il porte une longue barbe brune et de longs cheveux de couleur marron-rouge, tressés et décoré de quelques bijoux. Il a un gros nez, avec une boucle de nez, des petits yeux marrons et perçants, des petites oreilles, avec deux boucles d'oreilles sur celle de gauche. il porte une armure de mineur de guerre, à une hache à une main au niveau de la taille, sous son bras gauche, un marteau-pioche, un sac et un collier, avec un pendentif, représentant une rune naine, signifiant l'espoir.

Je me rappelle être né dans la capitale de Panderia: Valssya, une ville magnifique et remplie de nombreux races : humains, nains et elfes. Je suis né dans une famille de mineurs, où j'ai pu voir mon père et mes frères miner pour gagner notre vies… Mais mon oncle, Arik, était un mineur différent de ceux que j'ai pu voir : c'était un mineur de guerre, un mineur, spécialisé dans le combat au marteau-pioche et à la hache, envoyé pour des missions de récupérations de minéraux précieux et en exploration. J'aimais bien tonton Arik, il nous racontait ses faits marquants, ce qui me motiva pour en devenir un. De ce que m'avais dit mon oncle, c'était très dure d'entrer chez les mineurs de guerre, mais j'ai travaillé durement pour être l'un des leur, et au jour de mes 16 ans, j'ai rejoint l'armée, mettant que je voulais rentrer chez les mineurs de guerre.
Durant les années qui ont suivi, je me suis fait des amis, et c'est à ce moment là que j'ai rencontré celle qui deviendra ma femme : Judith, une mineuse de guerre humaine très impulsif et tête brûlée. Au début, on ne s'entendait pas. Puis, quand on a fait de plus en plus de missions, on est devenu amis. lors des soirées arrosé, il y avait toujours un duel de boisson, et c'était très dure de déterminer le gagnant à chaque fois, je crois que la dernière fois, on était à égalité avant de tout les deux tomber dans les pommes.
Lorsque j'ai eu 25 ans, mon groupe Judith et moi, avions été pris en embuscade par des gobelins des cavernes, tombant dans une crevasse. Je me suis réveillé, au côté de Judith, et de quelques mineurs, blessés, mais vivant. Durant la remontée, j'ai déclaré ma flamme à Judith, et hésita, mais accepta au moment où l'on a rejoint la capitale.

Durant plusieurs années, j'ai vu naître ma fille, Kaidïn, tandis que ma femme s'occupait de notre fille, j'ai continué d'être mineur de guerre, au point même de diriger mes propres troupes et de préparer des stratégies digne d'un général. Aussi, notre ville à appris que le roi et la reine ont été tués par un Elfe, Aerandir le Tyran. J'étais pas enclin à obéir à un longue oreilles, surtout quand il a tué les dirigeants et ceux qui s'opposent à son pouvoir, c'est pourquoi, j'ai commencé à creuser sous ma maison, un petit tunnel, rejoignant alors quelques compagnons d'armes qui s'opposaient au pouvoir du Tyran.
Lors de mes 30 ans, j'ai été promu commandant des mineurs de guerre, pour ma bravoure et mes exploits. Et puis, c'est arrivé : des gens circulait qu'un groupe de résistant existait et était dirigé par celui que l'on considère le seul vrai Roi de Panderia : Anathos Velanyon. En entendant ceci, j'ai pu voir de l'espoir, et j'ai donc décidé de me renseigner sur le moyen de rejoindre le seul vrai Roi. Mais je savais aussi que, en proposant ce choix, ma femme et ma fille devront me suivre aussi dans cette aventure. J'en ai discuté avec ma femme, elle accepta, comprenant alors la situation.
Durant quelques semaines, j'ai fait des recherches sur cette résistance, faisant croire au Tyran que c'était pour aider à battre cette résistance. J'ai pu trouver quelques résistants, travaillant dans les mines. Je les ai enfermés dans des cellules, et je leur est demandé une chose : comment rejoindre Anathos Velanyon. Au début, ils ne disaient rien puis, quand je leur ai dis sincèrement que le seul vrai Roi que j'obéis était à Anathos Velanyon, accepta et me dirent qu'un navire devait quitter Valssya le lendemain matin, au lever du jour.
Alors que je rentrais chez moi pour annoncer la nouvelle, j'ai pu voir beaucoup d'agitation en ville. De ce que m'avais dit un soldat, ils avaient pour ordre de récupérer tous les résistants. Comprenant alors l'ordre, je parti rejoindre ma famille, pensant alors à l'une de mes craintes.
En entrant chez moi, je vis ce qui m'a fait devenir un fantôme : le cadavre de ma femme et de ma fille, dans une mare de sang. Fonçant alors vers les cadavres, quelqu'un ferma la porte : c'était Aerandir, dans une tenue où il pouvait cacher son visage et un grand soldat, armé d'une masse de guerre. Il m'a dit que ce n'était qu'un amuse-bouche, pour avoir trahit son  autorité. Le grand soldat me frappa d'un grand coup de masse dans la face, me faisant voler vers le mur, et m'assommant et me faisant tombé dans les pommes.
Quand je me suis réveillé, j'ai pu voir que j'étais sous des décombres, et ma maison en flammes et en ruines. Je me suis relevé et j'ai vu les cadavres de ma femme et de ma fille, je pris ce qui me restait de ma famille mon armure, mon marteau-pioche, la hache de combat de ma femme et un pendentif, représentant une rune naine, signifiant l'espoir. Voyant que personne ne m'a vu, je pris le tunnel que j'avais construit, me faufila dans le tunnel, et sorti dans les ruines de la maison de l'un de mes amis, proche du port. J'entendit des bruits de combats dans le port, c'était les résistants qui tentaient de fuir. Je fonce alors, tuant quelques soldats ennemis, prouvant que je suis avec les résistants, et je monta dan le navire, qui quitta la capitale en direction de la base du seul vrai roi.