[Présentation] Vicinius

Hors RolePlay :

Prénom : Nathan
Age : 18
Emploi/loisir : le théâtre, l'histoire, et la bouffe
Date d'anniversaire : 28 octobre
Expérience de Rôle Play : Limitée. C'est à dire que je n'ai guère que peu que pas beaucoup pratiqué le RP, si ce n'est un tout petit peu sur la précédente version de ce serveur, ainsi que sur d'autres serveurs RP.

Role Play :

Nom : Vicinius
Age : 37
Race : Humain
Sexe : Homme
Emploi/loisir : Barde
Statut : Seul


Description de sa personnalité :

Personnage fourbe, ambitieux et avide de pouvoir aux paroles bien souvent fallacieuses, Vicinius à un gros problème avec le concept de loyauté. C'est à dire qu'il ne s'attache jamais à rien ni personne. Oui, alors, pourquoi. Pourquoi trahir, sans arrêt, les personnes avec lesquelles il collabore. Et bien c'est probablement une réponse compulsive à une crainte de s'attacher. Briser une relation plutôt que de la cultiver pour ne pas se retrouver démuni face au bonheur. En gros, il a peur d'aimer.
Amateurs de métaphores, il sortira régulièrement des phrases dénuées de sens, dans le but d'impressionner les personnes autour de lui et de donner l'illusion d'une vaste culture, alors qu'il n'a jamais eu d'éducation particulière. En effet, la plupart des choses qu'il sait, c'est seul qu'il les a apprises
(4 lignes minimum)


Description physique :

Vicinius est un peu plus grand que la moyenne, idéal pour dominer son interlocuteur lorsqu'il s'avère que celui-ci est de petite taille. Il est doté d'un physique assez banal: des yeux bleus comme la glace, une tignasse marron tirant sur le noir toujours décoiffée et un sourire charmeur sous une courte barbe permettant d’ouvrir bien des portes.
Il à également deux oreilles, un nez, ainsi qu'un menton.

Il est vêtu d'une tunique plutôt grisâtre et d'une capuche dont la couleur se rapproche des épines des sapins. Il voyage toujours avec son luth en bandoulière et un glaive à la ceinture, car bien qu'il méprise l'idée de se battre, on est jamais trop prudent.
(4 lignes minimum)

Histoire du personnage :

Vicinius est né durant la nuit du solstice d'hiver. Alors, ça n'apporte strictement rien au récit qui va suivre, mais je trouvais l'anecdote suffisamment cocasse pour qu'elle soit prononcée. Il est donc né par cette nuit de solstice dans un village totalement inintéressant qui, aujourd'hui, n'existe même plus. Il n'avait même pas de nom, pour vous dire à quel point ce regroupement de cahutes était ridicule.

Ses parents, propriétaires d'une petite librairie en plein centre du village, étaient fort distant avec lui, ne lui accordant que très peu d'attention. Il était l’aîné de deux enfants, mais se retrouvait bien souvent dans l'ombre de son frère cadet. Ainsi, ce dernier était presque considéré comme l'enfant prodige, le gamin parfait dont tout le monde voudrait.
Abandonné, Vicinius se réfugiait alors dans la musique et partait à la taverne du coin où il écoutait, des heures durant, les bardes de passages fredonnant leurs chansons, rêvant de quitter le domicile familial découvrir par lui-même les lieux dont parlent les ménestrels dans leurs refrains.

L'occasion se présenta de manière plus ou moins fortuite.
Voyez vous, ce frère, dont nous tairons le nom pour des raisons évidente de confidentialité et de vie privée, était également musicien. Où était l'os, me direz-vous, et bien le fait était qu'il surpassait notre premier protagoniste dans ce domaine (ainsi que dans beaucoup d'autres, mais c'est celui-ci qui nous intéresse)
Une nuit, ne pouvant plus supporter ce constant sentiment d'abandon, Vicinius se rendit dans la chambre de son frère, et, n'y tenant plus, lui agrippa la gorge et se mit à la serrer du plus fort qu'il pouvait.  
C'est allé relativement vite, mais il a quand même fallu qu'il s'y reprenne à deux fois...
Il l'avait pourtant étranglé pendant cinq bonnes minutes, le fumier ! Il était bleu outre-mer avec une jolie langue gonflée comme une escalope de dinde, et pourtant, croyez-le si vous le voulez, il respirait encore. Et, nul ne sait si c'était cette respiration paniquée et sifflotante, ou alors si c'était le fait qu'il le fixait avec de grands yeux rouges -parce que tous les vaisseaux avaient pété - mais Vicinius s'est senti un peu destabilisé. Alors il lui a bourré la bouche avec un linge trempé dans de l'huile de lampe et a allumé le feu.

Pour une mise au silence qui se voulait au départ discrète, c'était plutôt raté maintenant que la cabane était feu. Il s'empara donc du luth de son défunt frère, et s'enfuit tel un repris de justice dans la nuit noire.

Aujourd'hui il erre, voyageant de ville en ville, de taverne en taverne, faisant profiter aux gens lui ouvrant sa porte de divers poèmes et litanies, cherchant à s'élever, et ce de quelque manière que ce soit.
(10 lignes minimum)

k je valide

Validé comme à dit B2O