[Présentation] Soupiro Laznheim (Fairlaw)

Prénom : ....
Age : 18
Emploi : Etudiant en Fac de Psychologie (start 2018)
Loisir : Jeux vidéos, Psychologie, livres,  Krav Maga & Musculation
Date d'anniversaire : 10.10
Expérience de Rôle Play : Roleplayer sur différentes plateformes: Blablaland, Habbo, Minecraft, MMORPG, Garry's mod, Forums, Arma 3 Altis Life…
Expérience minecraft : : Serveurs survies, roleplay “fantasy” : WolvMC, Avatar Horizon. Roleplay city (avec police et criminels)...
Nom Compte Minecraft : Soupiro

SKIN Minecraft:

Surnom : Fairlaw, The Justiciary
Nom : Laznheim
Prénom : Soupiro
Age : 23
Race : Humain
Sexe : Non-binaire ! non je rigole Homme
Emploi : Vagabond, "Justicier/Mercenaire".
Loisir :  Affectionne les animaux, la nature. Aime apprendre l'histoire de son peuple, ambitionne de déceler les secrets des terres de Bedragoth et faire régner la justice.
Statut : Veuf (Anciennement avec une humaine vivant à Mirdavod)


Royaume de départ : Mirit
Vices du personnage (jusqu'à trois) : Instable, irritable.
Vertus du personnage (jusqu'à trois) : Droit, loyal.

Description de sa personnalité :
Soupiro Laznheim, dit "Fairlaw", est un homme plein de vie et de fougue, il vu de nombreuses choses compliquées qui ont motivé ses ambitions et transformé sa personnalité au fil des années. Néanmoins Fairlaw reste un homme droit, ayant une vraie haine contre l'injustice, ayant comme idole les (feus) paladins d'Asgaroth et bercé par les histoires du sanctuaire des gardiens. Il est loyal envers quiconque acquiert son respect.
Il garde en tête qu'il n'est qu'un homme, et qu'il ne peut pas changer à son échelle le monde où il est, de plus il sait qu'il est faillible, de part sa condition d'Homme, désavantagé face à d'autres êtres, mais également il reste en proie à ses sentiments et ses émotions qu'il tente de contenir en lui mais qui arrivent à resurgir dans ses moments de faiblesse.
Il pense être victime d'une forme de dysfonctionnement psychique, appartenant à la schizophrénie, le trouble dissociatif de l'identité. En effet, c'est l'excuse qu'il se trouve pour expliquer cette haine viscérale qui jaillit en lui et le submerge quand il est en présence d'un acte de barbarie, d'injustice ou de violence; alors que le reste du temps il est du style pacifiste. Mais pour le moment rien ne peut affirmer ou infirmer sa théorie. C'est pour cela qu'il ne signe pas par son nom mais par "FAIRLAW" après ses actes de violence sadique, donnant une identité à ce "Vengeur Justicier" qui semble s'emparer de son âme en présence d'injustice.

Description physique :
(Voir Image) Soupiro Laznheim est un homme de 23 ans. Il mesure 1 mètre 75 et pèse peu de poids, ce qui lui permet d'avoir une certaine agilité.
De nature maigre il a su s'entretenir et acquérir une musculature et une agilité décente permettant à Fairlaw de terminer sa folie vengeresse encore sur ces deux jambes tandis que le châtié lui n'en a plus.
C'est un beau jeune homme aux cheveux blond platine, arborant des yeux bleus azur, il a cependant peu de poils au niveau du reste du visage (barbe), il porte deux boucles d'oreilles formant des gouttes d'eau cristallines perlantes à ses lobes.

Il s'habille d'une tunique bleue foncée avec moult parures en tissu venant des différents endroits explorés ou d'individus ayant commis une faute en face de lui. Il porte une cape, en référence aux paladins, ayant l'habitude de se déplacer dans les endroits froids, il s'y abrite souvent. Il a l'habitude de changer souvent d'accessoires (ceintures, gants) mais sa tunique ainsi que ses boucles d'oreilles ont une origine lointaine et un coût sentimental immense.
Il possède une épée gravée " العدالة هي حق الأضعف. " dont il ne se sépare jamais, il aime également garder sur lui l'arme de la dernière personne que Fairlaw a châtié.


Histoire du personnage :
Soupiro Laznheim est né proche de Mirdavod, ses parents sont des forgerons et des artisans, anciennement au service de la milice de Mirdavod.
Dans sa jeunesse ses derniers lui contaient toutes leurs connaissances du monde de dehors, hors de l'atelier familial, en effet nombreux sont les aventuriers et les vagabonds venant s'équiper dans "l'atelier Laznheim", chacun ramenant en plus de quelques pièces, leurs histoires singulières.
C'est ces histoires d'aventuriers et de vagabonds qui poussèrent Soupiro, seulement âgé d'une dizaine d'années, sur la voie de la liberté, devenir un citoyen du monde était pour lui un mode de vie viable.
Son père avec qui il était très proche lui apprenait à manier les lames qu'il forgeait.

Mais il découvrit bien vite la dure vie d'adolescent, il devait aider son père et sa mère, accablés sous les commandes de la milice de la cité voisine, Mirdavod.
Il comprit pour la première fois la signification de l'injustice: Giehger Dachboden, chef de la milice, faisaient travailler ses parents à une cadence insoutenable sous peine de ne pas les payer ou de clôturer leur shop.
Il se rebellait souvent et de plus en plus contre la milice de cette cité, et surtout contre leur chef.
Dans cette oppression, seule une femme arrivait à faire oublier tous ses problèmes, et c'est avec cette femme qu'il se maria, trois années plus tard, quand il eut ses 17 ans.

Il vivait depuis 2 ans avec sa femme, aidant en tout temps sa famille à livrer les requêtes incessantes de la milice, voyant les conditions de vie de sa famille et la santé de sa mère s'amenuiser. C'est au bout du dixième passage d'un mercenaire, se plaignant de la qualité de l'équipement de l'atelier, et se moquant de l'état de ses parents, que Soupiro, dans un accès de rage, s'en prit aux miliciens attendant devant l'atelier de son père. Mais les miliciens, étaient équipés avec les protections forgés par sa famille, et Soupiro ne put que blesser un des hommes avant d'être rattrapé puis roué de coups par ces derniers, avant de s'évanouir durant de nombreuses heures, voire quelques jours.
Quand Soupiro se réveilla enfin, atteint d'une semi-amnésie, il décida de rentrer dans sa demeure, où il espérait retrouver sa femme afin qu'elle lui apporte son aide.

En effet, il retrouva chez lui une femme, il ne put la reconnaître tout de suite, peut-être qu'il ne voulait pas croire ce qu'il voyait en face de lui. Sa femme était à terre, entachée de sang et d'autres liquides, et ne réagissant à aucun stimulis, apparemment violée par quelques hommes et gavée d'un breuvage dont les fins sont mortelles.
Soupiro, affaiblit physiquement et maintenant psychologiquement, ne sut comment réagir, sa seule réaction fut de s'allonger à côté de son âme-sœur et d'espérer se réveiller avec elle, souriante, dans l'autre-monde, celui où les âmes ne se soucient plus de l'enveloppe lourde qu'ils doivent porter.
Le temps passe, mais il ne sentait pas son heure arriver, il pensa alors à accélérer le processus lui-même et voulut récupérer une lame cachée dans la maison, c'est à ce moment-là qu'il vu un mot, écrit sur le miroir dans sa salle d'eau: " Tu as voulu baiser la justice, nous allons te montrer qui baises qui"...

Malheureusement (ou non), Soupiro se résigna à accepter son destin, ils vont devoir attendre avant de se rejoindre l'un, l'autre. Soupiro attrapa alors la lame cachée dans sa demeure, et s'empara des boucles d'oreilles en forme de gouttes bleues, jonchant sur le sol, que portait sa femme et que les miliciens avaient arrachée lors du viol. Soupiro sorti, non sans un dernier regard à cette femme, qui était devenu bien plus que sa femme, elle était devenu sa flamme, telle une seconde âme.
Soupiro se dirigea alors pour voir sa famille, et leur expliquer sa situation. Ses parents, à l'écoute de son histoire, n'en crurent pas un mot, avant de voir cette flamme dans ses yeux et le sang sur ses mains. Ils surent tous les trois que les miliciens aller mettre sur le dos de Soupiro le viol/meurtre de sa propre femme. Son père lui conseilla alors de quitter, en se hâtant, la région. Mais avant ça, son père décida de lui offrir un fourreau et sa lame, faite d'un métal inconnu, la plus belle, la plus résistante et la plus tranchante de ses pièces d'armes, tandis que sa mère lui offrit une fabuleuse tunique, d'un bleu éclatant, la plus résistante et la plus légère de ses pièces d'armure. Avant de partir, le père insista pour graver, sur la lame de la nouvelle épée, une phrase qui devint plus tard la propre devise de Soupiro.

Ainsi armé, Soupiro partit de son atelier en disant Adieu à ses parents, mais avant de quitter son village, il devait mettre un terme à la pression que mettaient ces miliciens sur sa famille et il devait se venger de ce qu'ils ont fait à sa femme. Il resta quelques semaines dans la cité de Mirdavod, guettant l'apparition du groupe de milice avec qui il a eu un conflit. Il finit par les trouver une soirée, prit d'une folie vengeresse il leur sauta dessus et au terme d'un combat déloyal, il réussit malgré tout à laisser pour mort les 3 miliciens qui avaient violé sa femme, il signa alors avec, comme plume, la pointe de sa lame et, comme encre, le sang des châtiés "Fairlaw, The Justiciary". Il partit de la région dans la nuit, tandis que la milice de la cité de Mirdavod connu une des premières grande rébellion, suite à la découverte par des citoyens, à l'aube, de ces 3 corps.

Une fois loin de sa région, Soupiro s'isola pendant 1 an, afin de s'améliorer à l'épée, et d'endurcir son corps et son esprit. Il n'arriva cependant pas à renforcer assez ce dernier, mais quand il se sut prêt, il choisit de retrouver la civilisation. Il se rappela du sanctuaire des gardiens, et choisit lui aussi de parcourir le monde dans l’espoir d’apporter la paix.
Depuis ce jour, Soupiro vagabonde, cherchant à découvrir le monde, et à combattre l'injustice où elle se trouve, sous le nom de Fairlaw.
Il parcourut plusieurs contrées, mais depuis quelque temps il se sent de plus en plus seul et instable.
Il cherche à se renforcer, c'est pourquoi il est à la recherche d'un mentor à protéger et à servir, capable de le canaliser et de l'aider dans sa quête de justice.

Statistiques Personnage :
Jusqu'à 80 points pas compétences, max.
200 points sont à répartir parmi les compétences suivantes :
(Soyez cohérent avec le personnage que vous avez établis)

Force : 23
Agilité : 50
Constitution : 23
Charisme : 35
Perception : 45
Mental : 24


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P.S.: Désolé si c'est un peu long, mais ça me tenait à cœur de revenir sur une partie aussi centrale de l'histoire de mon personnage, J'ai trouvé ça passionnant d'imaginer son histoire, et la tournure de sa vie, j'ai essayé d'écrire le plus lisiblement possible, même si l'on me fait souvent remarquer que mes tournures de phrases sont lourdes à lire. Enjoy the lecture

P.P.S.: J'espère que mon interprétation/appropriation de votre lore, de votre ville (Mirdavod) et d'un de vos PNJ (Chef milice) dans mon Histoire, ne me feront pas défaut, j'ai essayé de rendre l'impact de mon personnage dans votre lore aussi minime que possible (Meurtre de miliciens random, Shop d'équipement dans un village voisin). J'espère que vous me comprendrez

Il possède une épée gravée " العدالة هي حق الأضعف. ":

"Avertissement à ceux qui vont dire "G PA LU":

J'a... DORE, limite je vais carrément m'occuper de te faire cette épée avec le nom, par contre si tu veux une description vois avec Anathos.

C'était une putain d'histoire avec presque aucune faute d'orthographe et putain si tu cherches un mentor pour te battre tu pourras en trouver quelques uns en Bedragoth, ça c'est sur, j'en ai moi même un perso de personnage qui excelle aux arts du combat mais à mon avis si tu veux pousser ton personnage jusqu'au bout, il devrais s'entraîner auprès de plusieurs combattants excellents, entre les guerriers de Arvengard et les saughorniens (qui on carrément déclaré une guerre de libération à Mirdavod) de Korn-Ota ton perso aura de quoi faire.

Niveau rôle play tu a l'air de bien t'y connaître et ne t'en fais pas si tu souhaites faire des actions RP on sera la pour satisfaire ces dernières.

Ton histoire était vraiment touchante et on voyais les vraies émotions, limite avec ça j'ai peur de faire un minuscule pas d'écart entre la vraie justice et celle que l'on pense véritable avec mes persos (mais bon je m'en fous je continuerais de les jouer tel quel ^^).

Franchement je suis pour valider ta candidature et même plus, si je le pouvais je dirais directement qu'il n'y a pas besoin d'une seconde validation et que tu peux jouer de suite.

Ce que j'adore également c'est que tu vas... Tu pousses jusqu'au bout pour ce que tu entreprends, pour preuve.



Je peut même dire être heureux d'avoir été le premier à te répondre au sujet de cette merveilleuse candidature.


PS : si tu as besoin de poser des questions n'hésites vraiment pas à me MP discord, pseudo : Roknor-Klarz / Alfred

Merci de ton accueil, c'est super agréable !

Je te retournes cela, c'est super agréable de lire ce genre de candidatures ^^

Tellement que j'en rajoute encore et encore dans ma réponse mdr

J'ai remarqué héhé, content que mon histoire t'ai autant plu.

Vraiment intéressant comme histoire. Après niveau contexte on parle de garde ou milice plutôt que de police et concernant Asgaroth ton perso a pu entendre parler d'une guerre très récente parlant de sa libération et d'un groupe de paladins survivants. En tout cas bienvenue à toi et à très bientôt en jeu j'espère !

Karpo la police existe depuis très longtemps, exemple au Japon dans les années 1100.

Donc même si c'est un autre monde, en Bedragoth le terme police reste autorisé

Bonjour et merci de ton interet pour le serveur!

Tout d'abord, bravo, ton texte est agréable mais je vais moins me répandre en compliment et cris de joie sur ta candidature que mon très cher collègue!

La candidature est blen, on voit que tu as lu, que tu t'es renseigné.
Très peu de fautes, mais vu le niveau, je vais me permettre d'être plus ... pointilleuse.
Ah oui, je ne vais pas te faire attendre bien plus, malgré ce que je vais énoncer, tu es accepté de mon coté. Tu as donc deux avis positifs, ton aventure parmis nous peut commencer.

Trop de répétitions.
Je ne compte plus le nombre de fois ou tu utilises le mot "Parents" par exemple.
Tu peux les mentionner de plusieurs façons.
"Ces derniers", "les géniteurs", ect ...
Je pense que régler ce petit couac pourrait rendre ton texte beaucoup plus lèger et limpide à lire.

Sur certaines choses, je trouve les réactions de ton personnage tres, comment dire ... pas cheaté, mais chanceux si je puis dire.
Là, c'est vraiment du peaufinage, je te l'accorde, mais je te dis ce que j'en pense ^^
Alors oui, sa femme a été violé et tué, les "policiers" (je prefere moi aussi le terme milice ou garde) sont morts, mais pourquoi le personnage laisse ses parents?
Qu'on se le dise ... Là les parents ils vont grave passer un sale moment et je pense que ton personnage le sait.
ça ne reste que mon interprétation ^^

Et pour finir ... Du détails sur ce qu'il ressent bon sang!
Il n'est pas qu'un corps dépourvu d'âme!
Il a des émotions, là, tu nous décris seulement la colère, j'aurais aimé un texte qui explique la naissance de cette flamme avec son épouse!

voilà, je ne vais pas en rajouter plus!
Je me repete, tu es accepté sur Bedragoth, à bientôt en jeu!

Je tiens juste à rajouter qu'il a mis "policier" car il l'a lus sur la présentation du chef de la "police" de Mirdavod en fait, c'était écrit tel quel sur le wiki "chef de la police de Mirdavod" ^^, donc à vrai dire bien que le terme existait à cette époque dans le monde similaire qu'est la terre et donc que ce soit possible, l'erreur est donc d'un membre du staff directement.

Je prends note des remarques, je modifierai pour que le background de mon personnage soit plus agréable à lire en modifiant les mots (synonymes parents, milice)

Je vais me permettre de défendre mon texte sur quelques points:

Après comme dit en privé, l'aspect émotionnel et psychique du personnage est bien présente dans la partie "personnalité" et je n'ai pas l'habitude, quand je raconte une histoire à la 3e personne d'aborder explicitement les sentiments, je ne fais pas un narrateur omniscient, mais Spectateur. J'ai préféré laissé la psychologie du personnage dans la partie qui lui est dédiée, et j'ai écrit le background comme on peut conter une histoire, et non une autobiographie, excluant donc les sentiments internes au personnage principal. Je ne sais pas si tu me comprends. De plus, dans l'implicite du texte tu peux comprendre ses sentiments, surtout dans la scène principale (viol), c'est vrai que je n'ai pas dit "Soupiro était triste de partir en laissant ses parents" non, "Fairlaw" incarnant le désir de vengeance, j'ai préféré resté dans ce cumul de haine.

C'est marrant de voir comme les points de vues et d'interprétation diverges:

Almastos23 a écrit:Ton histoire était vraiment touchante et on voyais les vraies émotions

Hyzea a écrit:Du détails sur ce qu'il ressent bon sang!
Il n'est pas qu'un corps dépourvu d'âme!
Il a des émotions, là, tu nous décris seulement la colère

Bien sûr tu ne dis pas que mon personnage n'a pas de sentiment, mais tu remarqué qu'il n'y a que de le vengeance, et c'est fait exprès, le viol de son âme-sœur ne lui laisse plus que de la haine. Je suis passé rapidement sur sa vie pré et post "meurtre de sa femme" et donc je n'ai pas dit "Soupiro était heureux avec ses parents, sa femme...", Je trouve que cela fait un peu gnangnan en plus.

Ensuite pour l'histoire de la rencontre avec sa femme, je ne suis pas très bon pour décrire une relation idyllique et je ne voulais pas entamer l'écriture d'un chapitre de roman, préférant me concentrer sur le déclic du personnage en précisant cette scène de viol et ses répercussions, et faisant une degression sur les autres événements. Il faut que je laisse aussi une part de l'histoire dans le flou, que mon personnage pourra expliquer lui même

Pour finir, dans l'imaginaire de mes personnages premièrement, c'était toujours les 3 mêmes miliciens qui venaient récupérer les armes, et étant un atelier parmi tant d'autre, le chef de la milice ne se souciant pas que tout est en règle partout il n'a peut-être pas reassigner une unité à la récolte des armes dans le village voisin. Également, personne ne sait qui est Fairlaw, il n'y a donc pas d'acte de rébellion, Les miliciens, ayant tabassés Soupiro puis violés sa femme, ont presque oublié cette histoire (l'habitude peut-être) et n'ont transmis aux supérieurs (s'ils font réellement des rapports) que de brèves informations, n'incluant pas les parents de Soupiro. Ce sont donc deux miliciens, tués, mais pas par Soupiro ou sa famille. Donc au pire, les Laznheim travaille toujours pour la milice; au mieux, à force de rébellions, la milice a un peu délaissé le village et l'atelier, et ces derniers sont débarrassés des commandes.

Au final j'ai voulu faire une histoire sur "l'origine de Fairlaw" , seconde personnalité de Soupiro, plus que sur Soupiro directement. Je précise également qu'à part écrire quelques background lors de mes Roleplay, je ne suis pas un habitué de la narration.
Également les deux parties avant l'histoire (Psychologie et Physique du personnage) sont liés à l'histoire, donc quelques réponses peuvent être trouvés (exemple dans l'histoire du personnage, je ne fais pas référence à la possible double personnalité naissante du personnage, étant une histoire narrative non-omnisciente, "l'auteur" n'étudie pas lui-même les émotions et la psyché du personnage.)