[Reroll] Gaël Velnador

Role Play : (Présentation du personnage)



Nom : Velnador
Prénom : Gaël
Age : 27
Race : Humain
Sexe : Masculin
Emploi (un seul) :
Passe-temps (jusqu'à deux) : Embêter les gens qu’il apprécie, visiter les couturières et les parfumeries

Statut :  Célibataire

Royaume de départ :
Vices du personnage (jusqu'à trois) : Arrogant, Mélancolique, Renfermé
Vertus du personnage (jusqu'à trois) : Sage, Compréhensif, Calculateur



Description de la personnalité du personnage :

L'évolution de Gaël lui à permit d'être indifférent face à la majorité des provocations ou des critiques. Néanmoins il peut se braqué, et dès lors, il ne faudra plus rien espérer de lui. Mais ce n’est pas le seul de ses défauts. Gaël est un homme renfermé, qui garde pour lui ses problèmes quitte à les nié pour mieux oublier. Mais au fond de lui une rage à toujours siéger depuis son enfance. La colère qu’il porte contre les injustices et particulièrement celle de l’impuissance. Une colère qui hiberne depuis toujours pour ne dévoiler qu’un fleuve calme et patient, mais qui c’est ce qui adviendra si on le pousse à bout, ou si au contraire, on lui offre l’occasion d’hurler aux cieux ses valeurs en chargeant ceux qui daignent remettre en question chacune de ses convictions. Et ce n’est certainement pas les Dieux qui lui diront le contraire.

« Que les Dieux daignent défié les valeurs que je porte. Soit ils devront se soumettre, soit ils devront me tuer. Mais en me tuant, ils s’abaissent au niveau des mortels. Et en prime, la mort préservera éternellement tout ce qui me définit, et ce qui les à amené à céder. Un mortel est par conséquent non pas le soumit, mais la divinité crainte des Dieux eux-même. »


Gaël est un homme qui aime pousser les autres vers l’avant. Il n’aime pas voir qui que ce soit s’abattre sur son sort, et par ailleurs, il est persuadé que tout le monde renferme en lui quelqu’un de bon qui mérite d’être respecté et remémoré. Et surtout chez un ennemi. Cette naïveté peut lui coûter cher et il en à parfaitement conscience. Mais il n’a aucun remord à toujours espérer le meilleur des autres, quitte à se méprendre et ne ressentir qu’une déception des plus amer.

« Tu as le droit de souffrir, d’avoir peur. D’être aussi mal que désespérer. Et il est facile pour les autres de mépriser tes choix, notamment celui de céder à la facilité. Je respecte ce que tu as été, et ce que tu es devenu. Tu as toujours été victime de ton impuissance tout comme je l’ais été jadis, et tout comme je le serais certainement plus tard. Mais aujourd’hui tu as le choix. Le choix de me demander de l’aide, et celui de pointé ta lame. L’un dans l’autre, c’est ta décision. Je peux te réparer, mais personne ne pourras jamais te sauver de tes choix. »


C’est un homme qui, si l’environnement le lui permettait, s’épanouirait dans un rôle de conseiller. Il éprouve une aise sans pareil dans l’analyse d’une situation, de tout ce qui y à mené et de tout ce qu’elle peut amener, de bien comme de mal. Mesurer le pour et le contre fait partie de ses spécialités et si on l’exige, il partagera ses capacités à quiconque le nécessite. Il calcule en permanence le moindre détail qui peut changer toute notre perception de quelqu’un ou de quelque chose avec passion. Malgré ses défauts, il reste au fond de lui quelqu’un de très sage et de poser, dont le moindre mot peut pousser à un questionnement profond de soi. A supposé, bien sûr, que la personne concerné se soit assez rapproché de Gaël pour solliciter cette part de lui qu’il protège des opportunistes via une arrogance pouvant basculer du sarcasme le plus hilarant à l’injure la plus perforante.

Au-delà de ça, Gaël est fidèle à ses convictions et est persuadé qu’avec de l’organisation et la fureur de vivre, n’importe qui peut renverser un Empire aussi puissant soit-il. Et il espère, dans le fond, détruire l’Empire de l’intérieur, supposant qu’une nation écrasé peut renaître. Tandis qu’une nation qui se détruit d’elle même, est effacé de l’histoire.


Il recherche sans cesse la place qui lui revient dans ce monde, aussi incertain soit-il. Il doute régulièrement de ce qu’il fait, mais ce dont il ne doutera jamais, c’est que l’Empire et la Résistance sont tout deux responsables de l’état déplorable du monde. Bien que concrètement il sert la Résistance, il est en réalité très neutre. L’Empire à des qualités qui compensent des défauts, tout comme il détient des défauts aberrant. La Résistance détient énormément de défauts, compensé par quelques puissante qualité. Les deux forment une rivalité complémentaire, et il craint malheureusement que quel qu’en soit le vainqueur, le monde n’en sera pas plus avancer. Pire, il en sera d’autant plus dégradé au fil des conflits, générant toujours plus de victimes.

« L’Empire à au moins le mérite d’être prospère et puissant, là où la Résistance à souvent des allures de mercenaires assoiffé de sang. Nullement discipliné, et dépourvus de valeurs propre. L’Empire est puissant mais immorale, tandis que la Résistance justifie certaines actions pouvant mettre en danger des vies innocentes, en se dédouanant via la cause qu’ils servent. Les gens sont peut-être des chiens aux yeux de l’Empire. Ils savent néanmoins à quoi s’en tenir, leurs laissant l’occasion de s’adapter et qui sait, peut-être même parvenir à vivre heureux. Chez les Résistants, leurs promesses utopiques endoctrinent peut-être plus de monde. Mais le liens entre les raisons de leurs actes, et les actes eux-même, révèle parfois hypocrisie qui les détruiront de l’intérieur en divisant les personnes assez lucide pour prendre du recule et les fanatiques qui ont développé une haine irrationnelle de tout ce qui se rapproche de l’Empire, jusqu’à ressentir du dégoût pour une paysanne à cause de la couleur de sa tunique. »




Description physique du personnage :


Gaël était à la base un homme assez svelte. Mais le temps et les exigences du passé l’ont poussé à forgé un corps préparé à toute tâche physique. Il ne ressemble pas non plus à un Ours, et les traits de son visage sont assez fin. Ses muscles sont donc développé, sans non plus entrer dans un cas extrême. Sa chevelure est blanche comme neige, quoi qu’un peu argenté, et ses yeux sont d’ambre. Il porte généralement des vêtements assez commun pour l’époque. Bien qu’il soit très admiratif des talents de certains couturier, et si ça ne tenait qu’à lui (et non à sa bourse), il se ruinerait en faisant du shopping. Il s’habille selon la situation, en temps hivernaux il portera une tunique doté d’une fourrure blanche comme ses cheveux, dans des temps plus doux, une veste de tissus.

Ce qu’on peut en revanche noté, c’est l’expression de son visage toujours sérieuse ou froide. Reflétant soit les tensions qu’il cache, et qu’il se cache à lui même. Soit la lassitude qui à engendré sa sagesse.



Histoire du personnage : (10 lignes minimum)

Gaël à grandit à Valssya au sein d’une famille aisé, partisane de l’Empire. Il ne manquait de rien, ou du moins de pas grand-chose. Son père est un homme d’affaire et sa mère était, à la base, une simple associé. Ils ont tout deux bâtie un Empire lucratif de Parfumerie et de Couture.  C’est à la tête de ces deux entreprises luxueuses qu’ils se sont fait un nom. Et par ailleurs, le Père investissait régulièrement de l’argent dans l’armée, jugeant qu’ils méritaient tout le soutient de la Nation pour veiller sur la prospérité de tous.


Malheureusement pour eux, les méthodes de l’Empire ont vite dégradé leurs affaires. Les gens n’avaient plus d’argent à dépensé pour du parfum ou des vêtements de haute-qualité. Pas le plus commun des citoyens du moins. Les dettes s’accumulent, et le père trop naïf, s’est toujours rassuré à coup de « ça passera, les hauts et les bats ça arrive dans le monde des affaires ! ». A tords, de toute évidence. Parce qu’à la tombée de la nuit les gardes ont défoncé la porte pour prendre tout ce qu’il y avait de valeurs afin de rembourser les dettes qui n’en finissaient plus. Et d’ailleurs ils se sont vite rendus compte que malgré tout leurs investissements pour l’armée, si l’Empire décide que tel personne est un déchet, quel que soit sont passif et ce qu’elle à fait, elle sera traité et écrasé comme tel.


C’est donc à environs sept ans que Gaël passe de famille aisé, à la rue hostile. Et il y découvrit la réalité. Les pauvres qui se réchauffent dans leurs merde, sans même savoir si ils dorment ou si ils sont mort. Les regards haineux des paysans qui triment toute leurs vie pour quelques pièces. Ainsi, il connut la misère.

Un homme le retrouva dans la rue, recroquevillé à chialé sur son sort. Devant le regard d’une enfant de son âge qui n'éprouvait que du mépris à son égard. Ce dernier le dissuada d’ailleurs de continuer de pleurer, limite plus effrayé par la fillette que par sa situation. L’homme était en réalité un maître d’armes qui à pu se sortir de quelques galères grâce aux investissements de son père. Il a reconnut Gaël grâce à ses cheveux blancs et ses yeux d’ambre unique. La Fillette était réticente à l’idée de ramener une troisième personne à la maison, surtout un pleurnichard. Mais son père l’a rappelé à l’ordre en disant qu’un pleurnichard n’a pas sa place à Valssya, un homme en revanche…


Ainsi Gaël fût adopté par cet homme. Qui lui à dès le début annoncé la couleur.

« Je suis Maître d’Arme, et voici ma fille Valérie. Si je te propose de vivre ici, c’est simplement parce qu’un enfant n’a pas à payé pour les conneries de son père. Mais aussi, et surtout, parce que c’est grâce à ton père que j’ai pu continuer à exercer convenablement mes fonctions. La seule chose que j’attends de toi, c’est l’obéissance.  Tu es perdu, c’est normal. Mais ce n’est pas comme ça que ça marche ici. Je peux faire de toi un homme, qui plus est un fervent servant de l’Empire. Mais tu vas devoir t’accrocher. »

Tel était le marché. Être un garçon bien élevé et devenir un homme.


Une rivalité s’est donc rapidement installé entre Gaël et Valérie, l’une n’acceptant pas qu’un crasseux incapable de se faire à manger puisse s’asseoir à côté de lui, l’autre voulant prouvé qu’il peut-être meilleur. Le tout dans l’atmosphère zélé du père qui n’a de cesse que de vanter la grandeur de l’Empire et le devoir de la nouvelle génération de préservé ce qui à été bâtit.

Entre couper des bûches de bois, porter sur son dos des vivres, et les cours de combat aussi sévère que discipliné. Gaël s’encouragea en se disant « Tient bon ou tu n’es qu’un déchet qui n’a pas sa place dans l’Empire. »

Il se faisait sans arrêt piétiner par Valérie, qui avait l’habitude et qui ne manquait pas une occasion de le lui rappelé. Au point de chercher en permanence la manière la plus humiliante de le démontrer.




Cette rivalité, au fil des années, à finit par générer un lien plus spécial entre les deux. Le mépris et l’indifférence de Valérie s’est changé en une protection indirecte. « Ce gars là y a que moi qui le tabasse », par exemple. Tout comme Gaël à appris à connaître Valérie et à apprécier ses allures dominante. Dans le fond les deux s’appréciaient bien plus qu’ils ne le laissaient paraître. Et c’est en grandissant qu’ils comprirent qu’il se passait quelque chose. Le père de Valérie les taquinaient d’ailleurs à ce sujet, prétextant que c’était hors de question tant que Gaël ne s’en montrerait pas digne.


Lorsqu’ils sont passé d’adolescents à jeunes adulte. Ils se sont engagé dans l’armée et se sont distingués des autres grâce à l’entraînement prématuré et intensif du Père de Valérie. Malgré ça, cette dernière était toujours meilleurs que Gaël. Ils participèrent à bon nombre d’opérations, et ont parfois assumé le prix de l’échec. Ceci étant, Gaël à toujours ressentis un malaise vis à vis des citoyens, et des Résistants qu’il à été amené à tuer. Les doutes se sont installé, et le liens des deux rivaux s’est déchiré.

Gaël exprima à Valérie tout ce qu’il ressent, ses doutes, ses craintes. Il demanda même clairement « Est-ce que nous sommes vraiment du bon côté de l’épée ? ». Outré, Valérie l’écrasa verbalement, quoi qu’elle allait même jusqu’aux mains sans que Gaël ne rétorque.


« Tu es un sombre con Gaël, t’as toujours été qu’un pleurnichard qui se fait du soucis pour rien. Ouais on botte le cul de tout le monde et même celui de notre peuple, ça n’a jamais fait de mal à personne une fessée au cul. Mais ça t’en sais rien t’es un gosse de riche. C’est nécessaire pour préserver l’unité et la prospérité de notre Nation. Personne n’a le droit de souillé notre fierté. T’es qu’une merde, tu le sais ça ? T’as toujours été qu’une merde, un incapable. Tu te fais dégommer par une femme, t’as pas honte sans déconné ? Arrête ton cinéma et bouge ton cul. On est l’avenir de ce monde et je compte bien le garder en paix quitte à mener de nouveau bains de sang. Et je n’hésiterais pas non plus à verser le tiens si tu te complais dans cette logique hérétique. »


- « Valérie. On sait tout les deux que tu as beau avoir été meilleure que moi en tout point, nous sommes égaux au moins sur un point. Toi et moi, nous n’avons pas les couilles de faire du mal à l’autre. Malgré toute les crasses qu’on s’est faîte en étant gosse, malgré tout le mépris que tu as éprouvé à mon égard et l’humiliation que j’ai ressentis en conséquence. Nous nous sommes construit ensemble. Et tu sais ce qui te fait chier Valérie ? C’est que tu as sincèrement aimé tout ces moments passé avec le petit gosse de riche. Tu tiens en ces souvenirs autant que moi. Mais tu ne te l’avoue même pas à toi même. Tu as été plus doué que moi en tout point, sauf un. Tu es soumise à ta fierté et au rôle que tu penses devoir assumé jusqu’à ta mort. Moi je me suis ouvert à l’évolution pour ne plus être un gosse de riche mais un homme. Pour rendre fier ton père qui m’a donné un foyer. Et pour te rendre fier. J’ai toujours rêver de te rendre fier, entendre au moins une seule fois autre chose que « Hey Gaga, tu chiales ? Même ton prénom fait pensé à un bébé ». J’ai rêvé de t’entendre dire « C’est du bon travail Gaël ». Et j’ai pas peur de te le dire Valérie. Toi t’as pas les couilles de t’avouer un semblant de positif. Tu sais ce qui te terrifies ? Tes émotions. Tout ce que tu ressens te terrifie. Et c’est ce qui t’as poussé à être plus forte. Ça te rassurait, en tout point. Mais au fond de toi, et ça te fait chier de l’admettre, tu m’aimes autant que je t’aimes. »


« … Dégage de ma vue, et ne revient jamais. »


Gaël la fixa, elle lui cria qu’il est cinglé et qu’elle ne veut plus jamais entendre parler de lui. Mais lorsqu’il n’était plus là pour le voir, elle frappa le mur pour finalement fondre en larmes. C’est suite à ça que Gaël se dissocia de l’armée, et de l’Empire. Gaël rejoignit la Résistance sans même caché son passé dans l’Empire. Il prouva sa loyauté en donnant les informations nécessaire, et en participant bien-sûr à des raids.


La dernière fois que les amants se sont vue, c’était en face à face dans un champ de bataille.


« Gaël. Cela faisait longtemps. »

- « J’espérais te revoir, je m’attendais à ce que ce soit ainsi. Et même si j’y étais préparé, je le regrette amèrement. »


« Tu as trahis ta patrie, et tu as rejoins ses sauvages. Tu es un traître, un lâche. Tu vaux pas mieux que l’enfant qui chialait dans la rue. Tu es immonde, et si tu savais le nombre d’homme que j’ai sauté pour t’oublier. Néanmoins je te remercie d’être ici. Je vais pouvoir te tuer de mes mains, et tiré définitivement un trait sur ton abject existence. Je ne peux pas te laisse remettre en question l’Ordre et la Prospérité qu’offre l’Empire. »


- « Et je ne peux pas te laisser piétiner les belles choses qui restent encore dans ce monde. »



« Alors bat toi. »



Les deux amants, souffrant d’un amour impossible et de convictions qui les déchirent dans une dualité si opposés et pourtant si complémentaire. Reflétant la similarité qu’ils incarnaient dès le début. Se jetèrent donc l’un sur l’autre. Le scintillement des lames n’en finissait plus, parce qu’au fond d’eux, malgré les mots et les actes. Leurs convictions n’ont jamais été plus puissantes que l’attachement qu’ils ont l’un pour l’autre. Ils se provoquaient, se poussaient à bout, et pourtant aucun ne s’est décidé à tuer l’autre. Valérie hurlait de rage, uniquement pour se voilé une énième fois la face, et cacher son chagrin.


C’est une flèche qui décida de la conclusion de ce duel qui n’avait pas pour vocation de finir. Elle s’est logé sur le flanc de Valérie. A peine eut-ils le temps de le réalisé d’un regard dans les yeux. Deuxième flèche se plante dans sa poitrine… Puis une troisième l’écrase au sol. Si la résistance n’avait pas chargé, Gaël serait certainement mort pour son manque de réaction.


Depuis, Gaël est un homme calme et renfermé, qui médite sans cesse sur son passé. Se demandant si il à fait les bons choix, si il devait faire ce qu’il à fait, ou si il n’y avait pas d’alternative. Si il y avait une issue plus heureuse.


Et c’est à la mort de Valérie. Qu’il comprit que l’Empire n’est pas tout noir, et la Résistance n’est pas toute blanche. Les deux se mélangent, et il n’y en a pas un pour rattraper l’autre. Les deux sont responsable de ses douleurs, et détruisent au même titre des milliers d’histoires.



Statistiques Personnage :
Jusqu'à 80 points pas compétences, max.
200 points sont à répartir parmi les compétences suivantes :
(Soyez cohérent avec le personnage que vous avez établis)

Force : 75/80
Agilité : 20/80
Constitution : 65/80
Charisme : 0/80
Perception : 0/80
Mental : 40/80



Pourquoi 0 en Charisme et 0 en Perception :

Le personnage n’a pas pour vocation de séduire les autres. Il dit ce qu’il pense, que l’on apprécie cela ou non. Si autrui le trouve charismatique, il n’aura jamais chercher à ce que ce soit le cas. C’est un homme qui n’a pas pour conviction d’influencer l’essence du libre-arbitre avec ce genre de pratique. Il est indifférent à l’idée de se faire aimer ou détester (ce qui ne veut pas dire qu’il ne peut pas être séduit). Il aurait eu un investissement en Charisme si il était influent dans la résistance. Ce qui est nécessaire pour mener tout le monde. Mais ce n’est pas le cas, et il préfère de toute façon influencer directement ceux qui se posent en leader en les conseillant.


Le personnage n’a pas non plus de points en Perception… Pour des raisons RP et HRP. IRP le personnage est un guerrier/tacticien/stratège ou un conseiller. Dans un champ de bataille il n’aura pas le temps d’observer distinctement les troupes ennemis à moins d’être en retrait pour avoir une vue d’ensemble.

La Raison HRP, c’est que je voulais me concentrer sur la force et la constitution, et il ne me restait que 5 points à investir en Perception. A ce stade j’ai donc juger complètement inutile d’avoir 5 % de chance de réussir un jet de perception, j’ai donc préférer augmenté de 5 points sa constitution, qui elle, sera dans tout les cas capitale et surtout dans ses fonctions de guerrier.

Je valide ! C: